Comment présenter aux enfants la démarche d’aller chez un psy ?
On a pour habitude de dire aux enfants que la psychologue est « la dame qui chasse les bobos du cœur, les petits soucis des gens » uniquement en parlant et en jouant ensemble.
Avant tout, il faut leur expliquer que nous ne sommes pas des médecins. On ne fait pas de piqûres, on va juste discuter ensemble de ce qui les embête.
Les parents peuvent dire que le psychologue aide les enfants qui ont des soucis à l’école, à la maison, avec les copains, leurs parents, leurs frères et sœurs…. Son travail est de les aider à se sentir mieux, plus joyeux…
Les parents doivent également les rassurer et leur dire qu’ils iront ensemble chez ce psychologue, car eux même, ils ont besoin de la psychologue pour les assister à aider leur enfant.
Parfois, ce sont les enfants qui réclament une aide extérieure et pas qu’à l’adolescence. Ils expriment le besoin de se confier et de parler à quelqu’un de neutre.
Comment se passe une 1ère consultation ?
La 1ère consultation est déterminante. C’est le premier moment de prise de contact, d’échanges mutuels, de prises de connaissances et de mise en confiance.
C’est le moment pour le patient :
- D’exposer ses difficultés, d’exprimer ses attentes et ses objectifs.
- De poser des questions au thérapeute sur sa formation, ses expériences, ses méthodes et son déroulement des séances.
- D’évaluer la qualité de l’échange, de l’écoute et de la compréhension du thérapeute.
- De se fier à ses impressions : le patient sent qu’il est en confiance, à l’aise, compris et écouté.
C’est le moment pour le psychothérapeute :
- D’écouter, poser des questions, évaluer la demande et les besoins du patient pour faire des propositions thérapeutiques. Ce moment d’évaluation des besoins peut nécessiter une ou deux séances.
- D’expliquer clairement ses méthodes de travail et ses orientations.
- De contractualiser avec son patient, quand cela est possible, un nombre de séances.
- D’orienter le patient vers d’autres spécialistes si la nature de la demande n’est pas compatible avec ses compétences.
À la fin de la première consultation, le patient et le thérapeute ont la liberté de décider de faire ou non un bout de chemin ensemble.
Comment présenter aux enfants la démarche d’aller chez un psy ?
On a pour habitude de dire aux enfants que la psychologue est « la dame qui chasse les bobos du cœur, les petits soucis des gens » uniquement en parlant et en jouant ensemble.
Avant tout, il faut leur expliquer que nous ne sommes pas des médecins. On ne fait pas de piqûres, on va juste discuter ensemble de ce qui les embête.
Les parents peuvent dire que le psychologue aide les enfants qui ont des soucis à l’école, à la maison, avec les copains, leurs parents, leurs frères et sœurs…. Son travail est de les aider à se sentir mieux, plus joyeux…
Les parents doivent également les rassurer et leur dire qu’ils iront ensemble chez ce psychologue, car eux même, ils ont besoin de la psychologue pour les assister à aider leur enfant.
Parfois, ce sont les enfants qui réclament une aide extérieure et pas qu’à l’adolescence. Ils expriment le besoin de se confier et de parler à quelqu’un de neutre.
Comment se passe une 1ère consultation ?
La 1ère consultation est déterminante. C’est le premier moment de prise de contact, d’échanges mutuels, de prises de connaissances et de mise en confiance.
C’est le moment pour le patient :
- D’exposer ses difficultés, d’exprimer ses attentes et ses objectifs.
- De poser des questions au thérapeute sur sa formation, ses expériences, ses méthodes et son déroulement des séances.
- D’évaluer la qualité de l’échange, de l’écoute et de la compréhension du thérapeute.
- De se fier à ses impressions : le patient sent qu’il est en confiance, à l’aise, compris et écouté.
C’est le moment pour le psychothérapeute :
- D’écouter, poser des questions, évaluer la demande et les besoins du patient pour faire des propositions thérapeutiques. Ce moment d’évaluation des besoins peut nécessiter une ou deux séances.
- D’expliquer clairement ses méthodes de travail et ses orientations.
- De contractualiser avec son patient, quand cela est possible, un nombre de séances.
- D’orienter le patient vers d’autres spécialistes si la nature de la demande n’est pas compatible avec ses compétences.
À la fin de la première consultation, le patient et le thérapeute ont la liberté de décider de faire ou non un bout de chemin ensemble.